Les forêts de l'espoir

Les forêts de l'espoir

Vie terrestre
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Dates / Durée du projet

Avril 2011 - Mars 2013 / 2 ans

Domaine(s) d'action :

Lutte contre la déforestation

Branche :

Monaco

Localisation :

Cambodge

Porteur(s) du projet :

Birdlife International

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Phase I :

2011 – 2013

Birdlife lance un projet de restauration pour la préservation de 150 000 hectares de forêt dans la région de West Siem Pang, au Cambodge.

Les actions menées sur le terrain visent à éduquer les populations locales pour mettre fin aux coupes illégales et au braconnage. D’autres actions sont menées au sein du gouvernement afin de déclarer cette zone comme « zone protégée ».

 

Phase II :

2013 – 2015

La Campagne Internationale pour la Conservation de la Forêt Boréale collabore avec des organismes de conservation, des chefs d’entreprise et les communautés et chefs aborigènes pour plaider pour que le développement du Nord du Québec soit précédé d’une planification de la conservation, qui préserverait au moins la moitié de cette région (environ 600 000 km2) sous forme de parcs, réserves et autres zones protégées. Sur les 600 000 km2 qui restent, il s’agit d’encourager l’application de normes et de lignes directrices (Le Boreal Forest Conservation Framework) afin de garantir la durabilité du développement et d’assurer qu’il bénéficie aux communautés locales.

Après plusieurs années de cette campagne, le premier ministre Charest a adopté cette approche pour le « Plan Nord ». Ce projet apportera au Québec un soutien important pour le développement du « Conseil du Nord Durable ».

Pour mémo, la Fondation a soutenu la 1ère phase dès 2010, pour un montant total de 150.000 €

Cette seconde phase du projet entend poursuivre avec le gouvernement les objectifs définis lors des années précédentes afin d’assurer la continuité des politiques engagées, et de définir les points critiques d’un projet commun. L’accent sera également mis sur la valorisation des résultats par la création d’un schéma type de développement durable réplicable à l’échelle internationale.

Conclusion suite à l’analyse du 1er rapport sur le projet : « Le changement de gouvernement au Québec a entrainé un ralentissement du projet. Malgré tout, le soutien public reste fort et les engagements ont été conservés par le nouveau gouvernement, laissant espérer que ce ralentissement ne sera que temporaire.

D’autre part, le travail avec divers gouvernements autochtones, ainsi que la participation à des forums internationaux a permis de maintenir le soutien international de ce programme de conservation, ainsi que d’initier une amélioration du processus de sélection du World Heritage Committee de l’UNESCO, qui permettra à terme une intégration des critères environnementaux et culturels dans l’examen des sites. »